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Le cri du Coyote
Jefferson Noizet poursuit son cheminement entre americana et langue française. Ce disque marque le début d’une collaboration avec Patrick Le Moal, ami de longue date, lui aussi, auteur-compositeur, et ardent défenseur de la langue française. Trois titres en sont issus dont le prémonitoire « Je vous salue » enregistré bien avant la pandémie. Autre participation, musicale celle-ci, celle du compositeur Oswald Rosier avec le titre « Au Soleil » dont les paroles sont aussi de Patrick Le Moal. Parmi les musiciens on rencontre l’habituel complice Michel Vergine, tout à la fois ingénieur du son, réalisateur et guitariste mais aussi les inséparables musiciens du cru, Dan Collet (basse), Jimmy Smith (claviers) ainsi qu’Akim Bournane (contrebasse) et Dietmar Waechtler à la pedal steel. Un très beau disque avec un morceau favori pour moi « Fermer la porte »
La Dépêche du Midi
… Belle mécanique, sensible à découvrir sur le premier titre mis en avant « Fermer la porte ». Les autres chansons « Sous la lune », « La passante du hasard », « Je vous salue », » Rivières d’automne », « Au soleil » en apportent d’épatantes illustrations.
Intramuros
Et si c’était la délicatesse qui incarnait le mieux l’univers de Jefferson Noizet ! Ce toulousain biberonné à l’americana à la folk music, à la country music aussi. Le voici avec un quatrième album du confinement dans lequel il fait preuve d’une retenue totale. ici, il n’y a rien de trop. Tout est bien dosé et précis. Le Jefferson se fait poète, égrenant le temps de ses rythmes country-folk fragiles et percutants. Notre homme observe les paysages, les gens, in situ et avec précaution, à la manière d’un diamantaire. « La passante du hasard » est immense. Dans cette harmonie, l’auditeur se sent en suspension, dans une boite de coton où rien ne semblerait venir semer le désordre. C’est cela, à travers ces chansons aux rimes précises et intelligentes, que Jefferson Noizet, nous assène, aidé par des secondes gâchettes chevronnées et en français dans le texte. Un coup de feel good music, une belle B.O. pour l’époque à laquelle nous vivons. Un joli coup de soleil en tous cas !
Le Deblocnot
C’est un disque dense, qui va à l’essentiel, sans bavardage… Un de ces albums que l’on garde au chaud, comme un trésor… A ranger au rayon des meilleures surprises de l’hexagone.
Dépêche du Midi
Avec son troisième album "Danser sous la pluie" Jefferson Noizet affirme une personnalité et une approche singulières de son art. Résultat d’un travail poussé sur les textes, la voix et qui multiplie les collaborations artistiques, cet opus aux accents Americana confirme ses talents d’auteur-compositeur dans un genre peu abordé par la scène musicale toulousaine.
Le Cri du Coyote
Son album précédent s’appelait "Tous ces mots". Ce titre est une parfaite introduction pour "Danser sous la pluie" tellement ce nouvel opus est, encore plus que les deux précédents, centré sur la qualité de l’écriture. C’est un disque que l’on peut lire, comme un recueil de poèmes ou, plutôt de courtes nouvelles chaque chanson racontant une histoire que l’on peut visualiser, un mini scenario dont l’imagination se plait à broder la suite. On peut citer"Le banc", "Quatre minutes avant le port", "Un très vieux souvenir". Puis il y a "Club 27" qui de Janis à Jimi, de Kurt à Jim évoque tous nos héros musicaux morts à 27 ans, mixant noms et prénoms. Le titre de l’album (qui est aussi celui d’une chanson) a été inspiré par une citation attribuée à Sénèque "la vie ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est apprendre à danser sous la pluie", phrase pleine de sens. Si les mots sont importants, si Jefferson a voulu plus que jamais décoller les étiquettes qu’on lui apposait ( blues ou americana made in Toulouse, par exemple), l’aspect musical n’a pas été négligé pour autant, qu’il s’agisse des melodies ou des arrangements superbes de simplicité épurée. C’est l’occasion de souligner le travail admirable au coté de Jefferson de Michel Vergine dont les guitares illuminent chaque moment. J’attibuerai une mention spéciale à "La balade de Jean Maturin"où brillent également Greg Lamazères (telecaster) et Jean-Luc Amestoy (accordéon) et que j’ai envie de ranger près de "L’appelé" de Richard Gilly et de "La Balade d’Alan Seeger" de Baptiste W. Hamon parmi les évocations les plus pudiquement émouvantes de la guerre et de ses ravages.
Guitare Sèche
On sait que beaucoup d’artistes décident de travailler hors labels, petits ou grands. Grâce au Web et ses multiples opportunités, il est aujourd’hui possible de présenter son travail hors des protocoles officiels. En tout état de cause et malgré le chemin choisi, c’est toujours la musique et sa qualité (ou pas) qui finit par parler aux auditeurs potentiels. Jefferson Noizet est un fan de blues et de folk, musique certes d’origine américaine, mais à l’instar d’un Paul Personne ou d’un Bill Deraime, il a choisi la langue de Molière pour s’exprimer. L’authenticité est au rendez-vous, car cet artiste est d’une totale sincérité. Les guitare acoustiques virevoltent au quatre coin des baffles et c’est une sensation des plus agréables. Le titre « Club 27 » est une ode à cette approche toute en finesse. Les textes toujours beaux, parfois nostalgiques et poétiques sont sous-tendus de mélodies accrocheuses le tout dans la fraicheur d’un son pur et cristallin. Cet artiste sensible est à découvrir et à suivre de près…
Intramuros
Nous suivons ce chanteur atypique depuis quelques années déjà et le voici avec son surprenant troisième album. De la country à l’americana il n’y avait qu’un pas, pour en arriver à la chanson-folk il y avait un pont... que le toulousain s’est empressé de franchir. Raconteur d’histoires — en français dans le texte —, poète évocateur, naturopathe de l’esprit sachant bien s’entourer quand il s’agit de pratiquer les instruments d’avant, Jefferson Noizet s’est peu à peu muté en songwriter terriblement émouvant, n’étant pas sans nous évoquer le meilleur de la collaboration entre Dick Rivers et Alain Bashung dans les années 70. Notons que même si cet opus donne clairement la priorité aux textes, notre homme a su s’entourer une nouvelle fois de cadors de la scène musicale d’ici. Un virage négocié avec maestria et que l’on salue Stetson bien bas !
Blues Again
Il ressort de l’écoute de ce CD une impression de sérénité, de plénitude de bien-être…
BCR
Un album à ranger entre Cabrel, De Palmas, Boudot Lamot, Phil Ochs et consorts.
Toulouse Culture
C’est dans un quotidien un rien cafardeux qu’il fouille comme un vieux coyote affamé. Rengaines d’amours mortes ou de détresse sociale, road songs façon hobo, hommage aux paysages…Jefferson Noizet interprète ses ritournelles avec un plaisir évident. De quoi consoler les âmes cabossées.
Intramuros
Du beau monde pour onze titres enlevés toujours dans la veine americana-folk… sur des textes en français précieux et délicats jamais dans le cliché… Avec ”Tous ces mots” le Toulousain embrasse un avenir radieux
Le Deblocnot
"Leila", formidable "road song", une des plus belles chansons en français que j’ai écouté ces derniers temps… J’ai été totalement séduit par cet album qui aborde un genre rare dans le paysage musical français, aux frontières du blues, de la country et du folk avec en prime une vraie plume qui signe des textes bien ciselés
Le Cri du Coyote
Il s’agit d’abord d’excellente chanson française, bien écrite, avec des thématiques variées et des textes que l’on pourrait faire étudier dans les écoles… Ce deuxième opus de Jefferson Noizet est vraiment de la belle ouvrage.
Guitare Sèche
Le titre « Leila » est beau à en pleurer et pourrait figurer dans la bande son d’un film de Wim Wenders sur le Texas…
Médiapart
De belles fulgurances
Blues Magazine
Jefferson Noizet nous présente son 2ème album “Tous ces mots“ qui est une vraie réussite… à mettre dans sa discothèque au rayon des meilleurs.