Écrits

CHRONIQUES DU BORD DE GARONNE…ET D’AILLEURS

C’est un recueil de onze nouvelles paru aux Éditions Le Solitaire sous mon patronyme J-F. Vaissière. À commander chez l’éditeur
http://www.ed-lesolitaire.com/a1-vaissiere.pdf
Une Garonne qui se prend pour le Mississippi, une rivière gersoise qui se transforme en fleuve amazonien, un billet aller-retour du port de Toulon à la froideur d’un cimetière canadien, des senteurs de la Montagne Noire à la découverte de langue occitane en région parisienne autant de tableaux vers lesquels nous entrainent ces chroniques. En prime toujours et encore les berges de dame Garonne sur lesquelles flâne une certaine Leila un bouquet de fleurs de véronique à la main. Comme bande originale une vieille balade gasconne qui croise la musique de Dylan, les Stones que l’on écoute tout en fumant des P4, dégustation de chichi frégi avant de prendre l’autoroute des Deux Mers source d’inspiration pour un vieux dobro made in Texas. Télescopage des sixties avec le deuxième millénaire, tranches de vie couleur bluesy sur un blues tantôt noir, tantôt rose comme Toulouse la ville du narrateur.


Lecture musicale

Une lecture musicale a été mise en place à la suite de la parution de ce recueil de nouvelles. J’assure la partie musicale, et le comédien Frédéric Cyprien se charge de la lecture.

Revue de presse

Intramuros

RDV rare à noter sur vos agendas : avec « Chroniques du bord de Garonne… et d’ailleurs » le duo J-F. Vaissière et Frédéric Cyprien propose un duo au fil de l’Ô… ou quand un bluesman du cru confie ses textes à un comédien et l’accompagne par ses atmosphères bluesy pour une balade sur les bords de Garonne

Le clou dans la planche

Neuf tableaux sous le soleil et l’éclat bleu des véroniques, sur les berges de la sinueuse dame certes (« Une Garonne qui se prend pour le Mississippi ») mais aussi sur le quai Stalingrad du Toulon de l’enfance, ou le long d’une rivière gersoise. Là, une dégustation de chichi-fregi, ici, le bourdon des abeilles autour du pot de confiture. Des balades gasconnes recoupent des déambulations sur le cours Dillon ou des moments dans les cafés toulonnais – patois provençal, Be-Bop-A-Lula au jukebox et frimeurs autour du flipper. Années 50 et 60 en télescopage avec le deuxième millénaire ; notre temps qui alterne avec l’époque où certains achètent des P4, où d’autres soignent leur banane au peigne… En un mot : du pittoresque, qui séduira les amoureux des balades souvenirs où les parfums, les couleurs et les sons se répondent

Dépêche du midi

Ils s’amusent sur scène à sonoriser et délivrer ces tranches de vie qui vibrent sur des compositions de guitares acoustiques, dulcimer, mandoline, dobro, guimbarde vietnamienne. Des instruments qui, à leur façon, racontent eux aussi l’histoire d’un sacré bonhomme.

Flash

A distinguer en particulier le beau travail de lecture musicale de Jean- François Vaissière biberonné au blues de Garonne